Série: Perfect Crime #2
Auteurs: Arata Miyatsuki, Yuya Kanzaki
Editeur BD: Delcourt
Une chronique Manga: Génération BD
Résumé :
Tadashi Usobuki, l’homme capable de tuer par persuasion d’un simple regard, continue de commettre des crimes aux noms de ses clients. Il n’a pas peur de dire qu’il est un tueur à gage, généralement les gens le prennent pour un fou. Le jeune policier Yuya Kanzaki tente toujours de trouver quelque chose qui pourrait l’incriminer en suivant la piste de toutes ces morts improbables, mais rien ne permet de remonter au véritable machiniste de ces histoires plus glauques les unes que les autres…
Avis :
Perfect crime continue son petit bonhomme de chemin en nous présentant un nouveau tome rempli d’histoires de vengeances toujours bien glauques et malsaines…
Nous aurions pensé à un plus dans ce deuxième tome, qui nous aurait apporté quelque chose sur le personnage principal et pourquoi il agit ainsi. La seule vraie raison déclarée à ce jour étant que le fait de porter un jugement de valeur sur le bien et le mal ne l’a jamais intéressé. Ce qui l’intéresse le plus étant cette sensibilité primaire et universelle que possède l’homme et qui lui est si unique, sa « fragilité ». Nous comprenons qu’Usobuki tente de collecter des données sur les crimes qu’il commet et donc d’étudier les agissements de ses victimes, dans quel but ? On ne le sait toujours pas…
Les histoires en elles-mêmes ne diffèrent pas de celles du premier tome, le cheminement est toujours le même, même le demandeur fini par succomber à une illusion. Le système d’illusion persuasive qui était innovant dans le premier tome commence déjà à épuiser sa réserve de surprises dans ce deuxième tome… Ce que l’on présageait à l’avance.
Espérons que dans le troisième tome qui sortira le 7 juin 2017, se trouvera un rebondissement inattendu qui donnera un peu plus de punch au scénario !
Pour en savoir plus :
Mache