Histoire :

« La maladie de l’œil rouge » sévit dans tout le royaume.   Les gens deviennent fous, fanatiques et incontrôlables.  Ils ne ressentent plus la douleur et toute raison leur est enlevée.  Seul moyen pour savoir qui en est infecté, un choc émotionnel fort.  One, guerrier aux traits d’ange mais qui a tout d’un monstre est accompagné de Nero, l’elfe noir, dans le but d’éradiquer ce mal…

Avis :

L’histoire de Drakengard est tirée du jeu du même nom développé par Cavia pour la PlayStation 2 au japon en 2003 et édité par Square Enix et Take-Two en 2004.[1]

Le premier point qui attire l’attention est la couverture qui rappelle le style de Etorouji Shiono du manga Übel Blatt (également édité par Square Enix) et son héros, Köinzell.  One, le héros de Drakengard a beaucoup de similitudes avec ce dernier:  petit, cheveux blancs, ressemble à un ange… Ce qui pour les férus de Dark Fantaisy laisse espérer le meilleur !  Une fois le manga ouvert, nous ne sommes pas déçus ! Le style est beau, soigné et remplis de détails.   Les attitudes sont vraiment bien soignées et les sentiments des personnages clairement exprimés.

Nous sommes directement placés au centre de l’action. Les combats se suivent, tous plus sanglants les uns que les autres, One fendant l’air de son épée tel un guerrier indestructible et Nero, avec ses arbalètes ne ratant jamais sa cible… Une vraie boucherie.

Pourtant, même si l’action se veut toujours intense, Nero étant un personnage  assez loquace, nous dévoile tout ce que nous devons savoir pour comprendre le contexte dans lequel on se trouve…  L’inconnue restant le pourquoi en sont-ils arrivés là… Cette histoire date d’il y a 3 ans, et c’est sur le début du récit que s’arrête ce tome 1.  Ce qui nous donne envie de lire le tome 2 !

Drakengard promet une bonne histoire de Dark Fantaisy comme on les aime…