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Des packs BD numériques dès le 1er août chez Le Lombard
En 2010, la bande dessinée passait à l’heure de la distribution numérique, forte de la création d’Izneo par le groupe Media-Participations. Première plate-forme de vente et location en ligne du secteur, cette initiative a immédiatement fédéré la plupart des acteurs majeurs du secteur ( Bamboo, Casterman, Dargaud, Dupuis, le Lombard, Glénat, Delcourt, Soleil et Gallimard-Futuropolis ) pour proposer aux lecteurs une offre à l’image du 9e Art : multi-culturelle et diversifiée.
À compter du 1er août 2011, Le Lombard propose à ses lecteurs de découvrir son catalogue numérique à travers deux offres d’abonnement adaptées à tous les publics et tous les budgets.
Pratique désormais courante dans le secteur audiovisuel, l’offre forfaitaire manquait encore à la bande dessinée. Cette lacune est désormais comblée, satisfaisant une attente forte des lecteurs.
Cette nouvelle se décline autour de deux abonnements :
• Le « Pack Premium » permet au lecteur d’accéder à l’intégralité du catalogue numérique du Lombard, soit plus de 500 titres* allant de Thorgal à Léonard, en passant par I.R.$ ou encore Mezek. Trois formules d’abonnement, dégressives, sont proposées : 1 mois (12,99 €), 3 mois (11,99 €/mois) et 6 mois (9,99 €/mois)
• Le « Pack Family » est, quant à lui, centré sur le catalogue jeunesse du Lombard, riche de plus de 200 titres, et permet aux jeunes de 7 à 77 ans de se plonger notamment dans les aventures de Yakari, Léonard ou encore de L’élève Ducobu. Là encore, cette offre se décline en trois formules d’abonnement : 1 mois (9,99 €*), 3 mois (8,99 €/mois*) et 6 mois (6,99 €/mois*)

Si ce nom ne vous dit rien, je ne vous citerai qu’un seul nom propre, qui a fait frémir tous les petits garçons fin des années ’70: GOLDORAK !
Kiyoshi Nagai, plus connu sous son nom de plume Gō Nagai, est né le 6 septembre 1945 à Wajima, au Japon.
Un mois avant sa naissance, la bombe atomique américaine est lâchée sur Hiroshima. Inconsciemment, cet événement trouve une résonance dans certains de ses scénarios. Tout jeune, Gō rêve de créatures et monstres médiévaux qui influencent sa vie et ses jeux avec ses frères. Des êtres velus et griffus qui, selon lui, sont la base des séries « Devilman » ou « Oni ».
En 1973, il crée le manga « Cutey Honey » (Cherry Miel en français). Mais c’est véritablement en 1975 qu’il crée l’oeuvre qui lui donnera une renommée planétaire: « UFO Robot Grendizer » (Je dois vous le traduire?)
Depuis 25 ans, Gō a considérablement ralenti sa production. Ses mangas sortent au compte-gouttes, on peut citer The Bird, Mazin Saga, Lady Devilman pour les plus fameux. Malgré tout, son aura créatrice et graphique reste encore perceptible dans l'art séquentiel international. Sa patte est une référence pour les apprentis auteurs et son œuvre tellement prolifique que même le Senseï en personne ne pourrait la détailler.